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Le monde déviant

Le monde déviant

Présentation du livre:

Le Monde déviant

Dystopie - Science-fiction - Anticipation 

Nbre de pages: 286

Auteur: Brice Milan

AE

 

Comment l'ai-je découvert: 

Après que j'ai chroniqué les trois tomes de sa trilogie: Les chroniques des Terres d'Eschizath, Brice, que je remercie pour sa confiance, m'a proposé de découvrir Le Monde déviant. Curieuse, j'ai accepté. 

Résumé:

À vivre au-dessus des nuages, dans un monde déliquescent, Sam Hartley a fini par se croire à l'abri de la colère divine. Le destin, sous la forme d'un message qui ne lui était pas destiné, bouleversera sa vie préservée de "Lécheur de ciel". 

Une femme et son enfant l'entraîneront vers des contrées insoupçonnées où l'amour se mérite. Le courage de Sam sera mis à rude épreuve: l'existence même de son monde est en jeu. 

Mon avis sur le Monde déviant: 

J'ai trouvé la couverture attirante avec les lumières et le message qu'elle laisse passer: histoire apocalyptique ou SF. 

L'histoire a  bien été mené, en commençant à parler que la chute de l'humanité à commencé avec l'industrialisation au XXème siècle. L'idée que l'homme puisse dénigrer la femme à ce point me fait courber l'échine, mais en regardant le monde actuel, on peut se dire que c'est ce qu'il pourrait se passer. 

Je n'ai jamais vraiment apprécié les histoires à la première personne, mais dans ce cas, je trouve que c'est un bon choix. Avec un personnage aussi insupportable que Sam, le choix de la narration focalisée est tout bonnement bien réfléchie. 

La plume de Brice est fluide et entraîne bien le lecteur dans l'histoire. 

Pourtant, malgré tous ses points positifs, je n'ai pas pu aller plus loin que la page 29.  Surtout à cause de l'incompréhension. Pour donner une idée, le chapitre 8 commence à la première personne et il se trouve que (Sam?) a prévu d'atterrir dans les bas-fonds pour attirer les Cleaners et tuer les femmes enceintes pour éviter la prolifération... Mais il insiste pour que la femme, qu'il a viré parce qu'elle est enceinte, déguerpisse et se mette en sécurité. Après un moment de réflexion, j'ai compris que le "Je" du début n'était pas Sam, mais un type qu'on connait pas. 

À qui le conseiller? 

Aux férus de dystopie, d'anticipation ou de SF et aux curieux. 

 

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